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Chalabre - Page 2393

  • Un jour dans la vie d’Auguste Cathala

    A. Cathala Août 2012.jpgSerge Fournié évoque la mémoire d’Auguste Cathala, dans le cimetière où il repose.

    Le 23 mai 1944, une colonne de soldats allemands accompagnée par la milice locale, arrive sur le secteur de Montjardin. La troupe composée de plus de 300 hommes, prend la direction de la ferme des Vinsous, où réside Marius Cathala avec sa famille. C’est là que va se nouer un acte ignoble, perpétré par l’occupant et ses complices.

    auguste cathala,le roudié,maquis faïta jean robertAu soir de cette funeste journée, le corps supplicié et mutilé d’Auguste Cathala, à peine âgé de 19 ans, sera retrouvé dans la ferme du Roudié. Torturé avec une indescriptible sauvagerie pour avoir permis aux maquisards du camp Faïta, établis sur les hauteurs du Chalabrais, d’échapper à la soldatesque, Auguste Cathala sera inhumé le 25 mai.  

    Afin de perpétuer le souvenir, et à l’initiative de Serge Fournié, un film évoquant les dernières heures d’Auguste Cathala, martyr de la Résistance, est en cours de réalisation. Réunis tout dernièrement sur la petite place de Montjardin, Jean Alcantara, frère de Paul Alcantara, commissaire aux effectifs du Maquis Faïta, accompagné de ses enfants Patrice et Serge, Jean Tailhan alias Lapébie, et Joseph Fernandez alias Frédo, partisans du maquis FTP « Jean Robert et Faïta », Sylvette Calmet, Janine Plantier et Joseph Cathala, sœurs et frère d’Auguste, et José Bernabé, en charge du tournage, ont effectué le parcours depuis Montjardin, jusqu’à la ferme du Roudié.

    auguste cathala,le roudié,maquis faïta jean robertJean Alcantara, Jean Tailhan et Joseph Fernandez.

    Le film ainsi réalisé, sera diffusé et proposé notamment aux instances scolaires, afin que le souvenir d’Auguste Cathala, puisse survivre aux derniers témoins d’un acte symbolisant la générosité jusqu’au don de soi. 

  • Une cabine peut en cacher une autre

    Août 2012 003.JPGLa photo ci-dessus, publiée le jeudi 6 septembre, a motivé le commentaire qui suit, publié par "Tosque" :

    "Dans le lot des photos qui illustrent l'article (ndlr : article intitulé Rétro, à toute vapeur), celle de la cabine de conduite de la 141 R 1126 (dernière photo) il semble bien qu'elle ait été copiée dans la première plaquette de la 141 R 1126, et je suis l'auteur de la photo!!! L'utilisation de document doit au minimum faire mention de la source, à défaut de l'accord du détenteur des droits !"

    Au-delà de toute polémique, mais avec le souci d'apporter une réponse à cette remarque éventuellement fondée, un détail de la photo publiée jeudi (qui avait sauté au recadrage), a été mis en ligne ci-dessous, lequel fait bien mention de la source, par ailleurs citée dans l'article en question. Certains éléments ont été conservés, pour faciliter la mise en parallèle des deux clichés, à l'image, entre autre, d'une burette d'huile qui fait foi.

    rétro,à toute vapeur,robert voltes

    Lien permanent Catégories : Echos
  • Pétanque : La paire Artus-Séris rafle la mise à Sonnac-sur-l’Hers

    Pétanque Sept 2003.JPGPatrick Séris et Gérard Artus ont ramené leur trophée au siège du Cours national.

    Insensibles à la chaleur, imperméables à l’humidité, les pétanqueurs chalabrois ont démontré qu’ils n’avaient rien perdu de leur forme en enlevant avec maestria le concours organisé par le comité des fêtes de Sonnac-sur-l’Hers. Un nouveau trophée enlevé haut la main par un duo dont la complicité fait merveille, au grand dam d’adversaires impuissants face à une maîtrise qui frise la perfection. Adeptes du cochonnet depuis leur plus tendre enfance, Gérard Artus et Patrick Séris ont émergé d’un lot de 28 doublettes, avant de disposer d’un ultime adversaire certes favori, mais submergé par le talent d’un duo en un mot impérial. Finaliste malheureuse, la paire composée de Jerry et Jean-Paul Delaurier, reconnaissait très sportivement la supériorité des vainqueurs, placides tout au long d’une finale rehaussée par un arbitrage impartial. Au-delà de cette nouvelle ligne ajoutée à un palmarès déjà riche, le succès obtenu à l’orée des Vergers de la Galante, assure à Gérard et Patrick, un strapontin d’honneur au siège café des Sports.