L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 17 mai 2000.

Les Chalabrois et les Jaunes de la vallée du Cougaing

Photo archives, Avril 2000

Comme ils en ont pris l'habitude, les sociétaires de l'amicale du football municipal ont rechaussé les crampons ce vendredi, à l'occasion d'une rencontre jouée face à leurs amis de la vallée du Cougaing. Les visiteurs emmenés par un Louis Alcaïdé des grands jours ont mis à mal des Chalabrois heureusement soudés autour de leur capitaine José Planas. Vue depuis le bord de touche, cette débauche d'énergie est-elle bien raisonnable de la part de quinquagénaires confirmés ?

Une bonne question que les intéressés n'ont pas manqué de se poser devant une excellente daube préparée par l'ami Didier Roget, arrière latéral et fin cuisinier à ses heures.

1934, Un manège au Pont du Blau

L’article en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du lundi 16 mai 2005.

La classe 1955 a renoué le contact sur la place Charles-Amouroux

Photo archives, Mai 2005

Les traditionnelles Fêtes de l’Ascension étaient l’occasion rêvée pour organiser de sympathiques retrouvailles entre jeunes quinquagénaires, invités à retrouver la tranquillité du pays chalabrais. Unis par une commune année de naissance et un berceau commun, ils étaient à nouveau présents sur les cours Colbert, Sully et d’Aguesseau, cours témoins de leur enfance heureuse, insouciante, et certainement un peu espiègle. A l’image des manèges installés sur leur cher « tour de ville », et même si « Bodino » et son « ponpon » ne sont plus là, le temps et les années ont continué à tourner. Sans altérer la bonne humeur de ces jeunes filles et jeunes garçons qui ont eu vingt ans en 1975, année très particulière pour l’ensemble des Chalabrois, pour Chalabre et son avenir.

Dans une cour de récréation improvisée, place Charles-Amouroux, chacun a refait le chemin à l’envers, en présence de Jeanne Juliani et Henriette Saurat (photo ci-dessus, archives, Septembre 2003), lesquelles n’ont rien perdu de leur maternelle bienveillance. De souvenirs d’enfance en souvenirs de classe, la fête aura été totale et la nuit trop courte, l’heure d’une nouvelle séparation venait de sonner au clocher de Notre-Dame.