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Chalabre - Page 2016

  • Le Père-Noël jongle avec les délais

    Père-Noël et Erwan 001.JPGErwan a compris que le Père-Noël savait lui aussi jouer les prolongations.

    En ce vendredi 25 décembre, alors que les enfants étaient tout occupés à ouvrir leurs cadeaux, une silhouette caractéristique filait sur les cours, au guidon de son giropode. Visiblement moins efficace qu’un attelage de rennes, ce moyen de locomotion certes moderne, n’a pas permis au vieux patriarche de respecter les horaires officiels inscrits dans la charte du Père Noël. Un retard sans conséquences, que le visiteur venu du froid, aura mis à profit pour finir de vider sa hotte, et faire ainsi quelques heureux de plus.   

    René,Léontine, Christian, Raymond 25 décembre 2015.JPGLe quartier de la Plaine du Pont-Neuf n’a pas été oublié.  

    Christian 25 décembre 2015.JPGIl restait des trésors dans la hotte du Père-Noël.

  • Joyeux Noël et Bonnes Fêtes !

    Bambi 5 février 2012.jpg

    Joyeux Noël et Bonnes Fêtes !

    Souhait illustré avec une image extraite du freezer, pour forcer la magie d’un hiver en pause. 

    (photo archives, 5 février 2012, Rencontre avec Bambi sur le chemin d’En Crème)

  • Retour à la maison commune pour les archives

    Les documents anciens du Kercorb ont trouvé une place à la hauteur de leur valeur historique, dans une pièce spécialement aménagée.

    archives départementales de l'aude,archives communales chalabrePhilippe Courrieu aux côtés de Jean-Jacques Aulombard et des membres de « Il était une fois Chalabre ».

    Le mardi 18 avril 1995, les archives communales de la Ville de Chalabre étaient inaugurées par Jacques Montagné maire, Marie-Louise Saddier adjointe à la culture, et les conseillers municipaux (photo ci-dessous, archives Avril 1995).

    archives départementales de l'aude,archives communales chalabre

    Egalement présente ce jour-là aux côtés de nombreux présidents d’associations, Sylvie Caucanas, directrice des Archives départementales de l'Aude (CAD), devait insister sur l’obligation d’une sauvegarde vigilante, eu égard à la valeur exceptionnelle de certains documents. Elle avançait notamment « la nécessité de n’ouvrir ces richesses que sous contrôle et accompagnement ».

    Et c’est certainement parce que ces conditions n’étaient plus réunies, que le vendredi 24 avril dernier (vingt ans après), feu vert était donné sans autre forme de procès, pour que la mémoire de la « Prima Kercorbis civitas » soit transférée vers le CAD de l'Aude à Carcassonne. Cette décision avait alors ému nos concitoyens, et notamment les membres de l’association « Il était fois Chalabre », qui trouvent dans ces documents, la matière nécessaire à la réalisation de leurs ouvrages.

    Au terme d’un entretien entre Jean-Jacques Aulombard, maire, une délégation de « Il était fois Chalabre », et grâce au précieux concours de Philippe Courrieu, archiviste du CAD, la capitale du Kercorb récupérait tout récemment ses précieux documents. Après la mise à disposition par la mairie d’une pièce plus adaptée avec rayonnages, les volumes ayant bénéficié d’un classement thématique, répartis dans vingt-cinq caisses, sont remontés jusqu’au deuxième étage de la maison commune. Une opération menée avec le renfort très apprécié des membres de « Il était fois Chalabre », et des employés communaux.

    Il revenait à Aurélie Subreville de rédiger l’arrêté portant règlement de consultation des documents, permise gratuitement à tout citoyen, après présentation d’une pièce d’identité valide, le lundi et le jeudi de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

  • Les petits-enfants de Fluris ont battu le pavé

    Une célébration plus que tricentenaire a été vécue par de très jeunes Chalabrois. Un sacré charivari a résonné dans le village. 

    charivari de fluris 2015Ils ont fait Fluris !

    Dimanche 13 décembre, jour de Ste Luce, à l’heure où les Chalabrois en terminaient avec leur devoir civique, une joyeuse cohorte de bambins emmitouflés dans la tradition s’élançait dans la pénombre des couloirs du temps.

    charivari de fluris 2015Depuis l’ancienne halle aux blés, en passant par les cours Colbert, Sully et d’Aguesseau, le souvenir du Sieur Jacques Fleury, collecteur d’impôt occis un certain 13 décembre 1697, a été ravivé dans une ambiance très bonne enfant. Il faut dire que la moyenne d’âge des « arrossegaïres » (tireurs de traîneaux) était exceptionnellement basse. Qu’importe, la fascination n’attend pas le nombre des années, et les traîneaux virevoltant sur le pavé ont offert à cette célébration plus que tricentenaire, son caractère festif, l’objectif étant de faire du bruit, beaucoup de bruit, et rien que du bruit.

    A grand renfort de « Vei fan les ans que tueron Fluris ! », les compagnons du charivari de Fluris ont perpétué la tradition, vieille de 318 ans. L’heure était venue de rejoindre la table familiale où une bonne soupe, salée juste ce qu’il faut, allait ranimer les petits organismes mis à rude épreuve.

    charivari de fluris 2015

    Doudou et traîneau, la panoplie du parfait petit « arrosegaïre ».

    charivari de fluris 2015

    charivari de fluris 2015

    charivari de fluris 2015

    charivari de fluris 2015

    charivari de fluris 2015