L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mardi 5 décembre 2000.

Les potaches du collège Antoine-Pons ont côtoyé les champions sur le parquet du Palais des sports 

Photos archives, Novembre 2000

Si vous voulez tout savoir sur les Spacer's, il suffit de demander aux élèves du collège Antoine-Pons. Ils sont incollables sur le sujet, depuis qu'ils ont pris fait et cause pour les handballeurs toulousains. Nos potaches effectuaient dernièrement un nouveau déplacement sur les bords de la Garonne où les handballeurs de la ville rose accueillaient les parisiens de Créteil, pour le compte du championnat de France 1ère division.

Installés en bonne place dans les tribunes du Palais des sports, les protégés de Monique Rault, leur professeur d'éducation physique, ont donné de la voix une heure durant, impressionnés comme à chaque fois par la vitesse et le tonus des handballeurs du duo d'entraîneurs Raynal-Onesta. Le suspense restera entier jusqu'au coup de sirène final, 20 pour Créteil, mais 22 pour Toulouse qui s'adjuge ainsi la quatrième place au général.

Le gardien remplaçant Birades détourne un pénalty

Ploquin ou Birades dans les buts, Prisacaru en défense, Lartigue en contre attaque et Stéphane Plantin à l'aile (photo ci-dessous) auront été les artisans victorieux d'un match spectaculaire. Assurément, les collégiens en redemandent, pour preuve l'invasion du parquet dès la fin de la rencontre par des supporters chalabrois en quête d'autographes. Une séance à laquelle les champions vont se prêter avec beaucoup de gentillesse, allant même jusqu'à poser avec les handballeurs de l'Association sportive du collège Antoine-Pons.

Cette soirée formidable en appelle d'autres mais pour l'heure, nos jeunes sportifs poursuivent l'apprentissage du handball tous les mercredis dans le cadre de l'AS, sous les conseils de leur professeur d'EPS et de Patrick Rault, ancien gardien de but du club normand de Gonfreville.

40 bougies ont été soufflées avec un plaisir manifeste

En cet avant-dernier mois de l'année 2025, la place Charles-Amouroux a mis un point d'honneur à privilégier les retrouvailles entre garants d'un patrimoine qu'il est essentiel de préserver. Après avoir vu débarquer un cortège de carrosseries d’un autre siècle,... à la faveur de la visite du Club automobile des 5 A, le site qui jadis résonnait des mugissements exprimant tous un très net mécontentement, accueillait un aréopage de vétérans ayant fait les beaux jours de l'Union Sportive Chalabroise XV.

C'était le samedi 22 novembre, et à l'heure où le soleil commençait à chauffer les coeurs, ils étaient là, affichant eux aussi quelques décennies au compteur. Un à un, « les Vieux du Stade », gracieusement accompagnés, ont mis les petits plats dans les grands, dans un vaste salon décoré aux couleurs qui perpétuent la belle aventure amorcée voilà tout juste quarante ans, à l’initiative de Bernard, Daniel et Raymond.

Placée sous le signe des retrouvailles, cette journée anniversaire a permis de refaire le chemin à l'envers et de partager encore des moments forts. Un voyage dans le temps grâce aux images d’archives a précédé l'excellent banquet concocté par les maîtres cuisiniers de la confrérie. A leurs côtés une brigade hyperactive, avec in fine, le point d'orgue et l'arrivée d'une kyrielle d'omelettes norvégiennes, dessert ô combien symbolique.

Comptable des années écoulées, des mêlées ouvertes, parfois relevées, Bernard a fait ressurgir quelques moments de nostalgie, partageant anecdotes de vestiaires et souvenirs de matchs mémorables. A l'évidence, les liens tissés sur le terrain et parfois sur quelques comptoirs continuent d’unir les Badalucs, heureux en ce samedi hivernal de replonger quelques instants dans leur Histoire.

Un album-photo 40 bougies pour les Badalucs a été mis en ligne

Un rendez-vous peut en annoncer un autre, c'est ainsi que les Badalucs vont à présent préparer le réveillon du Nouvel An, dont la date a été arrêtée au mercredi 31 décembre 2025. Chacun est invité à s'inscrire, auprès de Carine Rossi au 06 32 39 37 91, Frédéric Boussioux au 06 74 85 45 61, ou Jacques Mamet au 06 68 14 64 73.

Noeud pap et tablier pour la Brigade des Badalucs

Rugbymen d'abord, pétanqueurs à l'occasion

Un stage de taille douce des fruitiers aura lieu le samedi 6 décembre de 9 h à 17 h à Manses (Ariège). A quoi sert la taille ? Qu’est-ce que la taille douce ? Observer l’arbre et son biotope, comment intervenir sur la fructification par la taille ? Autant de questions qui trouveront une réponse à la faveur d'un cours théorique et pratique dans un verger diversifié, accompagné par Jérémy Barrault, formateur et accompagnateur d’arbres.

L'association Atout Fruit invite à prendre un pique-nique pour le midi. Tarif : 40 € (adhésion à jour), inscription et renseignements au 07 77 77 95 02. Rendez-vous à La Mondonne, à Manses.

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du vendredi 4 décembre 2020. 

Les fruitiers vont transformer le profil de l’allée Pierre-Louis Fabre

Photos archives, Décembre 2020

Mardi 1er décembre, les élèves de 3e puis de 4e, ont procédé à la plantation d'une haie fruitière (70 végétaux), aidés de parents et guidés avec expertise par Solène Callarec et Patrice Salerno, membres actifs de l'association Atout Fruit.

Ils ont ainsi appris l'utilité de la plantation d'une haie, pour la préservation de la biodiversité, et comme contribution au ralentissement du changement climatique. Sous cet aspect, une telle initiative étaiera le travail effectué par les enfants et leurs professeurs, dans le cadre du projet fédérateur de l’établissement, et des Cordées de la Réussite, avec l’école d’ingénieurs Supaéro.

Les élèves ont également mis en pratique les différentes étapes de la plantation, avant de procéder au paillage et au nettoyage des outils. A la faveur d’une météo indulgente, les collégiens à l’ouvrage ont conclu une matinée enrichissante, avant que leur travail ne soit salué par Edwige Lloanci, principale de l’établissement : « Nous les félicitons pour l'énergie investie dans le projet et remercions vivement les parents venus nous aider. Les futures générations de collégiens auront à entretenir le travail de leurs prédécesseurs, et profiteront en même temps des fruits produits ».

Photo 3 décembre 2025